Souper offer sur place. Pay what you can.

2025 a été une autre année de répression étatique et de violence policière, faisant notamment la plus jeune victime d’un meurtre policier de l’histoire (récente) du soi-disant Québec : Nooran Rezayi, 15 ans.



Malgré un jugement de 2024 de la Cour supérieure, qui a reconnu le caractère systémique du profilage racial au sein du SPVM, condamnant la Ville de Montréal pour ses pratiques, la police refuse de cesser ses interventions racistes.



Forte de sa mission de « réprimer le crime et les infractions » aux lois cis-hétéropatriarcales, coloniales et racistes, la police arrête, violente et tue en toute impunité !



Entre le 29 et le 30 mars 2025, trois personnes sont mortes aux mains des policier·ière·s. Trois meurtres qui s’ajoutent aux 72 personnes assassinées par l’institution policière en 2024 au soi-disant Canada.



Quelques heures après une manif contre les violences et l’impunité policière, le Collectif 15 mars, @abolitionmtl et @defundlapolice unissent leurs forces pour co-organiser avec @ora.rao.rev, le souper du 30 novembre à l’Achoppe (1800 Letourneux, Hochelaga).



L’occasion d’une bouffe contre la police et les

prisons.



Mais cette année a également été marquée par la résistance de communautés historiquement opprimées par les violences étatiques, qui refusent le statu quo et dénoncent les injustices systémiques. Elle a aussi été le théâtre d’une solidarité entre les communautés comme catalyseur d’une inspirante ténacité et comme germe d’un pouvoir collectif renforcé.



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Collectif 15 mars, Abolition-Montréal, and Defund La Police are joining forces with ORA to co-organize a community dinner on November 29 at l’Achoppe : an evening of food and resistance against police and prisons.



PWYC

Concordia a banni une travailleuse d’asso étudiante du campus et a suspendu plusieurs militants pro-palestiniens. Ses agents de sécurité sont violents envers les manifestants et les livrent à la police.

Gaza s’est encore fait bombardée cette semaine. On n'est pas fatigué, il y a Gaza à libérer!

Ils veulent un campus qui obéit. C'est l'occasion de leur montrer qu'on ne peut pas réprimer un mouvement en le réduisant à la complaisance. Montrons-leur un campus qui résiste.