La criss de réforme de l'aide sociale
Le jeudi 27 novembre 2025, à 13h00.
Lien vers l'événement Permalien sur Résistance Montréal
OPDS, 3340 Ontario Est (métro Préfontaine)
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La vie maritale à l'aide sociale : un exemple de violence institutionnelle
Le jeudi 27 novembre 2025, à 10h00.
Lien vers l'événement Permalien sur Résistance Montréal
2390 de Ryde, (métro Charlevoix)
Dans le cadre des 12 jours d'action contre les violences faites aux femmes, organisé par le comité d'action féministe :
Le CPAS (comité des personnes assistées sociales de Pointe-Saint-Charles) propose un atelier discussion sur les violences institutionnelles, soit les violences à l’intérieur même de la loi d’aide sociale.
- Détecter – les violences institutionnelles qui s’y retrouvent, notamment sur le plan de la vie maritale
- Mettre en lumière – les différents impacts sur les conditions de vies des personnes et les inégalités entre les genres
- Agir collectivement – Comment passer à l’action?
Dîner pizza inclus
OÙ : au Centre Lorne, au 2390 Rue de Ryde, grande salle du Rez-de-chaussée.ouverte à tous les genres ouvertEs à discuter de ces enjeux!
Le comité d'action féministe regroupe : Madame prend congé, Action-Gardien, le Carrefour d'éducation populaire de Pointe-Saint-Charles, le Comité des personnes assistées sociales de Pointe-Saint-Charles, la Clinique communautaire de Pointe-Saint-Charles, le Centre des ainés.
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Femmes résilientes, violence de genre et solidarité du québec à l'amérique latine
Le jeudi 27 novembre 2025, à 17h00.
Lien vers l'événement Permalien sur Résistance Montréal
Pavillon Judith-Jasmin de l'UQAM, Salle des boiseries (J-2805) métro Berri
Dans le cadre de la Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes, le Comité pour les droits humains en Amérique latine (CDHAL) co-organise un atelier artiviste, intersectionnel et participatif qui porte sur les droits des femmes et les violences sexistes et de genre. En croisant les réalités vécues par les femmes en Amérique latine et au Québec, nous souhaitons tisser des ponts entre les luttes locales et transnationales en offrant un espace de réflexion critique sur les dynamiques systémiques actuelles qui perpétuent ces violences dans le but d'imaginer un futur émancipé et en stimulant des alliances entre actrices de changement. L’atelier s'appuiera sur des voix militantes et des données socio-politiques, tout en explorant la créativité comme moyen d'émancipation face aux discours de domination sur le corps des femmes. Ce moment se veut autant un lieu de mémoire que de résistance, où les récits, les corps et les actions convergent pour affirmer que ni la violence ni la solidarité n’ont de frontières. Cet événement a été co-construit avec nos partenaires, des femmes d'ici et d'ailleurs, dont la fondatrice de la Maison des femmes migrantes latinoaméricaines de Montréal, une vidéo-réalisatrice colombienne et les membres du Comité Amérique Latine de l'Université du Québec à Montréal.
DATE : Jeudi 27 novembre
DURÉE : DE 17H30 À 20H30 UQAM : Salle des boiseries (J-2805), Pavillon Judith-Jasmin, 405 rue Sainte-Catherine Est à Montréal
PROGRAMMATION17h-17h30 : Accueil du public et réseautage
17h45 : Introduction par le CDHAL
18h : Présentation du CUAL-UQAM
18h45 : Projection de courts-métrages féministes et discussions avec Gloria Isabel Gomez Ceballos
19h30 : Présentation "D'invisibles à invincibles" par Sandra Londono
20h : Activité participative avec le public, réflexions critiques féministes et co-création du savoir
20h20-20h45 : Clôture et réseautage
PERSONNES INVITÉES ET CO-ORGANISATRICESComité Amérique latine de l'Université du Québec à Montréal
𝐆𝐥𝐨𝐫𝐢𝐚 𝐈𝐬𝐚𝐛𝐞𝐥 𝐆𝐨𝐦𝐞𝐳 𝐂𝐞𝐛𝐚𝐥𝐥𝐨𝐬 : Cinéaste et professeure colombienne. Depuis 2013, elle écrit et réalise des films axés sur les droits des femmes, le film-essai et le deuil. Elle a cofondé El Cine Sana, une société de production audiovisuelle qui a collaboré avec la Cinémathèque de Medellin en Colombie. En 2021, elle a été reconnue par le Secrétariat aux femmes pour sa contribution au patrimoine audiovisuel d’Antioquia. Après avoir obtenu la mention Cum Laude pour sa maîtrise, elle poursuit un doctorat à l'UQAM, explorant la création participative comme un moyen d'émancipation face aux discours de domination sur les corps des femmes.
𝐒𝐚𝐧𝐝𝐫𝐚 𝐋𝐨𝐧𝐝𝐨𝐧𝐨 : Travailleuse sociale, médiatrice familiale et formatrice. Forte de plus de 15 ans d’expérience en accompagnement familial, elle est reconnue pour son approche humaine, rigoureuse et systémique. Membre de l’Ordre des travailleurs sociaux et des thérapeutes conjugaux et familiaux du Québec, elle a exercé au sein de la DPJ et du CIUSSS du Centre-Sud-de-l’Île-de-Montréal avant de poursuivre sa pratique en tant que médiatrice, coach coparental, superviseure et conférencière. Passionnée par la transmission du savoir, elle forme et accompagne des médiatrices familiales au Québec et à l’international. Co-fondatrice et présidente de La Maison de la femme immigrante latino-américaine, un OBNL basé à Montréal, elle s’engage activement pour la reconnaissance et les droits des femmes issues de l’immigration.
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Depuis le printemps 2025, l’équipe en Éducation à la citoyenneté mondiale du CDHAL travaille sur l’élaboration d’un projet d’envergure intitulé « Construire le pouvoir populaire : Dialogues Québec-Amérique latine sur les futurs émancipateurs » (2025-2028). La première phase de ce projet consistera à tenir 4 ateliers participatifs et gratuits, abordant des thématiques choisies par nos membres et partenaires (justice alimentaire, paix, migration, féminisme) liées aux systèmes d'oppression et aux alternatives innovatrices des mouvements sociaux latinoaméricains et québécois. À travers notre projet, nous offrirons un espace de réflexion critique sur notre présent pour imaginer un futur émancipé grâce à l’innovation collective, en stimulant des alliances entre des acteurs et des actrices de changement.
Notre premier atelier abordera les droits des femmes et les violences sexistes et de genre. Il se tiendra le jeudi 27 novembre à Montréal.
Pourquoi ces ateliers sont-ils importants à notre avis? Nourrir l’espoir d’un avenir libéré des systèmes d’oppression est une préoccupation politique qui a encore plus d’importance en 2025. Dans la dernière décennie, la crise climatique et l’extrême droite n’ont cessé de gagner du terrain : la fermeture des frontières et le traitement inhumain des personnes migrantes, les reculs liés aux droits des femmes et au féminisme, les atteintes à l'intégrité et à la sécurité des personnes LGBTQIA2S+, l’inaction des gouvernements face aux changements climatiques, les attaques contre l’autodétermination des peuples autochtones par les entreprises transnationales, etc. Ces politiques néolibérales ont eu des effets palpables sur notre comportement social et nos relations avec les autres. Nous constatons la tendance à l’individualisme dans nos sociétés modernes et le fait que les jeunes affirment ne pas être écoutés et sont aux prises avec de l’éco-anxiété et du mal-être. Dans ce contexte, nous devons plus que jamais rester critiques et solidaires, tout en recherchant et en créant des transformations profondes. Le CDHAL, célébrant ses 50 ans en 2026, propose de s’inspirer des expériences et des luttes concrètes des mouvements sociaux de l’Amérique latine et du Québec pour créer pour une société plus juste.
Tu te demandes si ces ateliers sont faits pour toi? Notre public cible est la société civile québécoise francophone et issue de la diaspora latino-américaine qui souhaitent en apprendre davantage sur les thématiques abordées, les jeunes entre 16 et 30 ans, ainsi que toute personne impliquée dans les mouvements populaires des milieux féministes, antiracistes, écologistes, syndicaux et universitaires souhaitant participer à la réflexion collective avec d’autres allié·es!
Ce projet est possible grâce au soutien de nos partenaires financiers : la Fondation Béati, la Congrégation Notre-Dame, la Fondation Solstice, le Gouvernement du Québec (Ministère des Relations internationales et de la Francophonie, Programme Québec Sans Frontière), le Service aux Collectivités et des associations étudiantes de l’Université du Québec à Montréal (AFESH, AFEA et AFESPED).